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Il Comitato TROVIAMO I BAMBINI, chiede risposte urgenti all'articolo "POCO VEICOLATO", qui di seguito riportato. Chiede inoltre di sapere in che modo siano stati usati i fondi del progetto Daphne.

Sperando di avere risposte urgenti, vorremmo ricordare che i soldi della Comunità Europea sono anche in parte dei cittadini ITALIANI.

GRAZIE.
IL COMITATO
www.troviamoibambini.it

Vendredi 16 Mars 2007 - fonte

 

Child Focus et le programme Daphné de la CEE au centre d’un scandale en Roumanie.

Aide fictive aux enfants disparus...

Titre le journal roumain "National Jurnalul" du 7 février 2007

Publié sur le site de la fondation l e 12 mars 2007

Child Focus e il programma Daphné della CEE al centro dello scandalo in Romania.

Aiuto fittizio ai bambini scomparsi...

Titolo del giornale rumeno "National Jurnalul" del 7 febbraio 2007.

 

Child Focus and the EEC Daphne program at the center of a scandal in Romania.

Fictive help for missing children...

Headlines the Rumanian newspaper "National Jurnalul" on February 7, 2007.

Aucune des cinq ONG roumaines référées en centre de recherche d’enfants disparus et sexuellement exploités ne travaillait dans le domaine. Quatre d'entre elles ont été inscrites à leur insu, avec falsification de leurs objectifs.

     En 2001, avec le soutien bienveillant de Paola, Reine des Belges et de Romano Prodi, Président de la Commission Européenne, Child Focus lança l’annuaire Childoscope, reprenant les ONG qui assistent la population dans le plus grave des problèmes qui dévaste actuellement l’Europe : les enfants victimes d’enlèvement et d'exploitation sexuelle.  

     L’Union Européenne visait à permettre aux organisations d’accéder à des fonds pour établir des centres en mesure de fournir des informations sur les enfants disparus, ou former le personnel à ces missions, selon Monsieur Prodi. Le programme Daphné, de son département "Justice et Affaires Intérieures" subsidia les partenaires européens de Child Focus pour  rassembler les ONG locales actives en ce domaine, préciser leur structure, leurs modes opératoires, ainsi que leur collaboration avec des autorités locales et les médias.

     En Roumanie, la mission fut confiée à Salvati Copiii (Save the Children – Roumanie) qui  en novembre 2001, fut référenciée sur Childoscope avec quatre autres organisations roumaines :  International Foundation for Child and Family, Help and Relief for the Young, Feed the Children - Romania, Saint Dumitru, centre de soins aux jeunes.

     A Bucarest, les journalistes du National Jurnalul savaient  que ces organisations avaient principalement des objectifs d'aide et de soins aux enfants des rues, d'intégration d'orphelins dans des familles roumaines, d'apport de médicaments, de nourriture et de vêtements à ceux qui en ont besoin, dont à la communauté gitane. Des missions lourdes et essentielles qui n'avaient jamais jusque là, eut les moyens d'intégrer  la recherche d'enfants disparus et sexuellement exploités. Le journal décida d'enquêter pour découvrir si, avec les années et l'aide de la CEE, elles avaient pu étendre leurs activités. 

     Feed  the Children s'occuperait de disparitions mais seulement d’enfants âgés de 3 à 14 ans,  selon Childoscope ! Carmen Preotesoiu leur téléphona, demandant de l’aide pour la recherche d’un enfant disparu, dans la tranche d’âge admise :- "Nous ne traitons les disparitions d’enfants. Nous ne l'avons jamais fait", lui répondait la secrétaire manifestement irritée.

    Elle  rencontra alors Marilena Buttu, directrice Feed  the Children, qui lui raconta avec enthousiasme les accomplissements de ses équipes. Elle était stupéfaite de découvrir que selon la CEE, son activité principale aurait été la recherche d’enfants disparus : "C’est une tâche trop complexe, donc nous ne nous concentrons pas sur ça. Nous n'avons aucune idée comment notre nom est apparu sur cette liste. Nous allons devoir rechercher comment ça a pu arriver!"

     La journaliste rencontra en suite Mihail Carp, le directeur exécutif de International Foundation for Child and Family. Il lut la description de son organisation et répondit confus :- "Nous n'avons jamais traité ces cas en aucune façon ! Nous avons envoyé des données Salvati Copiii sur nos activités afin de collaborer avec eux, mais nous n'avons jamais envoyé de données sur la recherche d’enfants disparus. C'est peut-être une erreur".

     Le centre Help and Relief for the Young,  qui s’occupe des enfants des rues et Saint Dumitru, centre de soins aux jeunes, eurent la même réaction.  Quand bien même ces organisations méritent une aide de la CEE pour créer une force européenne visant à protéger ces enfants de la pauvreté et de la discrimination, rien n'autorisait de falsifier leurs objectifs, ou de les laisser dans l'ignorance de leur possibilité de solliciter un budget  pour des campagnes de préventions au seins des communautés  qu'elles assistent.

     Carmen Preotesoiu rencontra alors Gabriela Alexandrescu, présidente de Salvati Copiii qui répondait de ses activités en matière de recherche d’enfant disparus :- Personne ne nous en a jamais fait la demande. Nous n’agissons que quand nous y sommes invités. Nous ne recevons pas de subsides de l'état pour ces cas.

     Or, le bilan financier 2005 de Salvati Copiii fait apparaître que huit pourcent de ses fonds, principalement allouées à la recherche d’enfants disparus, puisque telle serait son activité principale, sont fournis par l’état roumain, selon les journalistes enquêteurs. Ses autres ressources lui viennent de subsides de l’Union Européenne, ainsi que des ambassades du Canada et de Hollande !   

     A la question de pourquoi en 2001,  cinq organisations, y compris la sienne, ont été incluses dans cet annuaire en dépit du fait qu'aucune n'ont d’activité commune aux objectifs  de base visés par l'Union Européenne, la Présidente de Salvati Copiii a répondu :- N’avez-vous jamais fait une erreur ?

     Reste à découvrir le justificatif de Child Focus pour un partenariat avec une organisation n'ayant  pour objectif commun les subsides du Programme Daphné, mais également les justificatifs de la CEE pour le défaut de contrôle de la destination des fonds européens visant aux actions civiles indispensables à la recherche d’enfants disparus et sexuellement exploités.  

Nessuna delle cinque associazioni referenti rumene per il centro di ricerca dei bambini scomparsi e sessualmente trafficati lavorava per questo fine. Quattre di loro sono state iscritte a loro insaputa,con falsificazione dei loro obbiettivi.

     Nel 2001, con il sostegno benvolo di Paola, Regina del Belgio e col sostegno di Romano Prodi, Presidente della  Commissione Europea, Child Focus lanciò l'annuario Childoscope, iscrivendo le ONG che assistono la popolazione nel più grave dei problemi che devastano attualmente l’Europa : I bambini vittime di traffico e di sfruttamento sessuale.  

     L’Unione Europea mirava a permettere alle organizzazioni di accedere ai fondi per stabilire dei centri in grado di fornire delle informazioni sui bambini scomparsi , o formare il personale secondo queste missioni, secondo Monsieur Prodi. Il programma Daphné, del suo dipartimento "Giustizia ed affari interni" sovvenzionò i collaboratori europei di Child Focus per riunire le ONG locali attive in questo campo, precisare la loro struttura, i loro modelli operativi, così come la loro collaborazione con le autorità locali ed i medias.

     In Romania, la missione fu affidata a Salvati Copiii (Save the Children – Roumanie) che nel novembre 2001, divenne referente iscritta in Childoscope con quattro altre organizzazioni rumane : International Foundation for Child and Family, Help and Relief for the Young, Feed the Children – Romania, Saint Dumitru, centro di cure per i giovani.

     A Bucarest, I giornalisti del National Jurnalul sapevano che queste organizzazioni avevano principalmente obbiettivi di aiuto e cure ai bambini di strada, di immettere degli orfani nelle famiglie rumene, di portare medicine, cibo e vestiti a coloro che ne necessitavano, tra cui la comunità degli zingari. Missioni molto pesanti ed essenziali che non avevano mai avuto il modo ed i mezzi di integrare anche la ricerca dei bambini scomparsi e sessualmente sfruttati. IL giornale decise di fare un'inchiesta per scoprire se,negli anni e con l'aiuto della CEE, loro avrebbero potuto estendere la loro attività. 

     Feed  the Children s'occupava della scomparsa di bambini ma solamente dai 3 ai 14 anni,  secondo Childoscope ! Carmen Preotesoiu gli telefonò, domandando l'aiuto per un ragazzo scomparso, nei limiti di età richiesti :- "Noi non trattiamo la scomparsa dei bambini. Noi non l'abbiamo mai fatto", gli rispose la segretaria chiaramente irritata.

     Lei incontrò allora Marilena Buttu, direttrice Feed  the Children, che le raccontò con entusiasmo ciò che aveva fatto la sua associazione. Lei era veramente stupefatta di scoprire che secondo la CEE, la sua attività principale sarebbe stata la ricerca dei bambini scomparsi : " E' un campo troppo complesso, per cui noi non ci concentriamo su questa attività. Noi non abbiamo alcuna idea come il nostro nome è comparso su questa lista.Noi dobbiamo dunque ricercare come questo abbia potuto succedere!"

     La giornalista incontrò di seguito Mihail Carp, Il direttore esecutivo di International Foundation for Child and Family. Egli lesse la descrizione della sua organizzazione e rispose confuso :- "Noi non abbiamo mai trattato questi casi in nessun modo ! Noi abbiamo inviato dei dati a Salvati Copiii sulle nostre attività per collaborare con loro, ma noi non abbiamo mai inviato dati sulla ricerca dei bambini scomparsi.Ci deve essere un errore".

     Il centro Help and Relief for the Young,  che si occupa di bambini di strada e Saint Dumitru, centro di cure per giovani, ebbero la medesima reazione.  Quand'anche  le medesime organizzazioni meritano un aiuto della CEE per creare una forza europea per proteggere questi bambini dalla povertà e dalla discriminazione, nulla autorizzava a falsificare i loro obbiettivi, o lasciarli nell'ignoranza delle loro possibilità di sollecitare un budget  per delle campagne di prevenzione all'interno delle comunità che assistono.

     Carmen Preotesoiu incontrò allora Gabriela Alexandrescu, presidente di Salvati Copiii che rispose in merito alle loro attività per la ricerca dei bambini scomparsi :- Nessuno ci ha domandato di fare questo. Noi prendiamo contatti quando siamo invitati. Noi non riceviamo sussidi dello stato per questi casi.

     Ora, il bilancio finanziario del 2005 di Salvati Copiii fa apparire che l'otto per cento dei suoi fondi, sono principalmente impegnati nella ricerca dei bambini scomparsi, poichè quella sarebbe la sua attività principale,ed è data la sovvenzione dallo stato rumeno, secondo i giornalisti che hanno indagato. Le altre sue risorse provengono dall’Unione Europea, così come dalle ambasciate del Canada e dell'Olanda !   

     Alla domanda sul perchè nel 2001,  cinque organizzazioni compresa la sua, sono state incluse in questo annuario in disaccordo col fatto che nessuna di queste avevano un'attività tale che aveva previsto l'Unione Europea, la Presidente di Salvati Copiii ha risposto :- Non avete mai fatto un errore ?

     Restano da scoprire le giustificazioni di Child Focus per un volontariato(?)  con una organizzazione  che non aveva per obbiettivo comune quanto stabilito dalla CEE per i sussidi elargiti dal Programme Daphné, ma egualmente sono da scoprire anche le giustificazioni della CEE per i difetti di controllo della destinazione dei fondi europei destinati ad aiuti civili indispensabili nella ricerca dei bambini scomparsi e sessualmente sfruttati.  

None of the five Romanian NGOs referred as centers for the search for missing and sexually exploited children worked in the field. Four of them were inscribed without  their knowledge and falsification of their objectives.

     In 2001, with the caring support of Paola, Queen of the Belgians and Romano Prodi, President of the European Commission, Child Focus launched the Childoscope directory, gathering the NGO that assist the population in most serious of the problems that currently devastates Europe: the children victims of kidnapping and sexual exploitation.

     The European Union aimed in creating this Director to give access to foreign funds. Presenting the data requested, each country could get investments in order to build centers which are able to deliver information about missing children, or to train the staff to  participe in these missions, according to Mr. Prodi. The program Daphne, of its department "Justice and home affairs" subsidized the European partners of Child Focus to gather the local ONG active in this field, to specify their structure, their procedures, their collaboration with local authorities and the media.

     In Romania, the mission was entrusted to Salvati Copiii (Save the Children - Romania) which in November 2001, was referred on Childoscope with four other Rumanian organizations:   International Foundation for Child and Family, Help and Relief for the Young, Feed the Children - Romania, Saint Dumitru, center of care to the young people.

     In Bucharest, the journalists of the Jurnalul National, knew those organizations mainly aimed at providing help and care to street children, at integrating orphans in Romanian foster homes, at providing  medicine, food and clothes to those who need it, among which to the gypsy community. Heavy and essential missions  that never had the means, until then, to integrate the research of missing and sexually exploited children. The newspaper decided to inquire to discover if,  with the years and the help of the EEC, they had been able to extend their activities.

     Feed the Children would have taken care of missing children, but only of those  aged from 3 to 14 years, according to Childoscope! Carmen Preotesoiu, telephoned them, asking assistance for the search for a missing child, in the allowed age bracket: - "We do not treat cases of missing children. We never did", answered an obviously irritated secretary.

     She then met Marilena Buttu, director Feed the Children, who told her with enthusiasm the achievements of her teams. She was amazed to discover that according to the EEC, her main activity would have been the search for missing children: "It is a too complex task, therefore we do not concentrate on that. We have no idea of why our name appeared on this list. We must investigate how we got on that list!"

     The journalist then met read Mihail Carp, the executive director of International Foundation for Child and Family. He read dumbfounded the description of his organization and answered: - "We never treated these cases in any way! It is true that we sent Salvati Copiii data on our activities in order to collaborate with them, but we never sent data on research of missing children. Maybe it is a mistake".

     The center Help and Relief for the Young, taking care of street children and Saint Dumitru, care center for the young people, had the same reaction. When well these organizations deserve help of the EEC to create a European force aiming at protecting these children from poverty and discrimination, nothing authorized to falsify their objectives, or to leave them in the ignorance of their possibility to request a budget for prevention campaigns to the centers of the communities they assist.

     Carmen Preotesoiu then met Gabriela Alexandrescu, president of Salvati Copiii, who answered about her activities as regards of searching missing children: - No one ever came to ask us assistance for these cases and we only take action  when we are invited to do so and we do not receive state funding for these cases.

     However, Salvati Copiii’s  2005 financial rapport reveals that eight percent of its funds, mainly allocated in the search of missing children, since such would be its principal activity, are provided by the Rumanian state, according to the investigating journalists. Its other resources are subsidies from the European Union, as well as from the Canadian and Dutch embassies!

     At the question of why in 2001, five organizations, including hers, were included in this directory  in spite the fact that none had any common activity with the basic objectives aimed by the European Union, the President of Salvati Copiii answered: - Didn’t you ever make a mistake?

     Remain to discover Child Focus’ justification  for a partnership with an organization not having any common objective, besides the Daphne program subsidies, but also the EEC justification for the defect of control of the destination of the European funds aiming to the essential civil actions for the search of missing and sexually exploited children.


 

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